Il est parti là bas http://nouratinbis.wordpress.com mon petit blog.
Alors à tout de suite?
Il est parti là bas http://nouratinbis.wordpress.com mon petit blog.
Alors à tout de suite?
Eh non, il n'est pas mort car il...bouge encore!
Onéfoutus réapparaît mais tout bizarre, avec plein de modif. qui se découvrent au fur et à mesure. Par exemple presque tous mes Blogues Potes ont disparu...en même temps que les publicités intempestives. Bref, j'ai du mal à m'y retrouver, allez donc plutôt faire un tour sur http://nouratinbis.wordpress.com, vous y trouverez de la lecture, pendant que j'essaie de me repérer dans le maquis des inventions overbloguesques.
Bonne soirée, à bientôt...
Je ne dis merde à personne vu que pour s'y retrouver...
Comme d'hab, je vous demanderai de descendre deux-trois marches, il fait meilleur plus bas!
-"Caisse ta nana foute? Rétorqua Foupallour, Cuba, de toute façon ça veut plus dire grand chose. C'était bon au temps de Georges Marchais les histoires de guerre froide, de missiles, de Baie des Cochons, tout ça quoi. Aujourd'hui la Russie c'est devenu la Droite, depuis Putin le pote à Marine Le Pen, ça cadre plus du tout avec le Ché! En même temps les Amerloques ils oscillent entre leur président Case de l'Oncle Tom, leur population bourrée de Latinos et les restes du Ku Klux Klan qui renfilent leurs cagoules pour pas qu'on voye qu'y pleurent. Alors pour ce qui est du rabibochage avec Cuba, ça nous en touche une sans faire bouger l'autre, c'est plus là bas que ça se passe! Pour emmerder Vladimir il a trouvé beaucoup mieux le camarade Barack Hussein: on se met d'accord avec l'Arabie Saoudite pour faire écrouler les cours du pétrole et tout de suite il manque d'air, le Cosaque, il étouffe qu'on dirait une dorade oubliée sur le pont du bateau. Alors, pour Cuba plus la peine de se faire chier, ils peuvent les reconnaître les U.S. ça leur fera des chouettes plages toutes fraîches à se coller sous la boîte à caca!"
Interpellé de la sorte, notre ami Yves Rognes qui venait de mettre le sujet sur le tapis en qualifiant d'évènement historique majeur la reconnaissance de Cuba par les Etats-Unis, replongea le pif dans son Martini-Dry, vaincu avant même d'avoir engagé le combat. D'autant qu'il voit juste sur ce coup-là, Jean Foupallour, la réconciliation obamo-castriste ne pisse pas bien loin en termes d'incidence stratégique. Il s'agit seulement d'un coup de pub mijoté entre un Pape Jésuite Sud-Américain en recherche d'effet médiatique sur sa clientèle de base, un locataire de la Maison Blanche en voie d'expulsion manu-militari et un vieux dictateur en train de se déssécher doucement dans l'attente de ses Obsèques Nationales. Hank Hulley me le confiait déjà voilà deux-trois jours : "il multiplie les appels du pied aux immigrés , ce fucking président de mes deux! Et que je te régularise cinq millions de clandestins et que je te rouvre l'ambassade de Cuba! Encore un petit effort et il élève un monument à la gloire de Chavez en face du Capitole le shitty asshole! Après il aura plus qu'à chanter l'Internationale coiffé d'un sombrero de trois mètres de diamètre en s'accompagnant à la guitare sèche avec sa gonzesse qui se secouerait les maracas en cadence! Seulement, ajoutait vicieusement notre ami d'Outre-Atlantique, avant qu'il puisse faire le gros bisous aux Castro-Brothers, Bamboula, va falloir convaincre le Congrès et là, tu peux me croire, ce sera une autre paire de super-balls : le copinage avec des Communistes faut le faire avaler à nos Républicains. Janvier sera chaud, crois moi!" Enfin, bon, il peut raconter ce qu'il veut, le mec, je reste persuadé qu'ils se raccomoderont; les braves Cubains vont enfin pouvoir connaître les joies de l'obésité et les Occidentaux assez intrépides pour braver les menaces de mort étatiques, retrouveront le plaisir de fumer de vrais Havanes. Ce sera toujours ça de gagné.
Toutefois, en ce dernier Dimanche de l'Avent, les braves mécréants encultés autour du zinc conformémént aux prescriptions de la liturgie pochardique, n'accordaient qu'un intérêt superficiel aux aventures diplomatiques du camarade Raoul, Frère de Saint Fidel de l'enfant Castro. La conversation qui tournait depuis un moment autour du sujet, finit bel et bien par tomber sur l'avenir des retraites. La faute à Blaise Sanzel!
"Dites donc, mes amis, nous sortit ce dernier sur le ton de la boutade, vous savez ce qui vous attend? Oui parceque moi, à quatre-vingt douze ans je ne crains plus grand chose mais vous autres, surtout les merdeux de soixante piges, la misère vous guette! Avec la faillite des retraites complémentaires on commence à parler de baisser les pensions, vous savez ce que ça veut dire, pas vrai? Ben oui, les sujets tabous dès qu'on les déflore ils cessent de l'être et aussitôt après survient la curée! Mais non, Marcel, pas la fin du célibat des prêtres, abruti! Non, je veux dire l'halali, quoi, sus aux retraités! Ils ne vont pas continuer comme ça, indéfiniment, à vous engraisser avec des pensions de mille ou mille cinq cent Euros mensuels, les jeunes, ils s'apprêtent à fermer les robinets, croyez moi, surtout Mohamed et Mamadou, vous savez, les petits protégés de notre bon Président de la République...vous les voyez vous distribuer des sous, vous? Des coups de pied dans la gueule, je ne dis pas mais des subsides pour ne pas crever, laissez moi rigoler doucement! Surtout qu'en plus ces jeunes gens voient leurs activités commerciales menacées par les menées subversives des Socialistes qui nous gouvernent : Terra Nova, veux-je dire, le laboratoire d'idée des copains de Culbuto, qui propose de légaliser le cannabis et de lui coller une grosse taxe pour remettre à flot les caisses de l'Etat! Vous savez que ça inquiète beaucoup dans nos banlieues ce genre de déclaration, si on les énerve trop, les "jeunes" ils vont nous foutre une grosse émeute, vous verrez. Alors pour les calmer il faudra leur assurer des compensations... le produit de l'impôt sur le shit, par exemple...mais bon, n'allons pas nous figurer en plus que ces charmants bambins nous paieraient nos retraites juste pour satisfaire au vivre-ensemble et à la solidarité inter-générationnelle, soyons sérieux! Et puis vous savez, la capacité de nuisance des quartchiers sans-cible apparaît sans commune mesure avec celle des vieux, Les retraités n'ont pas de kalachnikovs, eux, c'est bien connu. Préparez vous à déguster la portion congrue, croyez moi je sens que ça vient."
Depuis un moment on voyait le béret de Marcel Grauburle qui dodelinait étrangement par dessus son verre de blanc-limé. On lui sentait bien l'envie d'en savoir plus, de tenter d'éclaircir son cas personnel, le seul qui, comme tout le monde, l'intéressait vraiment. Au bout d'un moment, n'y tenant plus, il se décida à rompre le silence pesant qui s'était installé dans le vieux bistrot de Thérèse.
-" Dis Blaise, les fonctionnaires dans tout ça, y zont rien à voir, pas vrai?"
-"Eh voilà, intervint Foupallour, tout courroucé. Putain les mecs parce qu'ils étaient facteurs comme le Marcel, ou trou-du-cul d'Etat, comme beaucoup (il regardait fixement Monsieur Radanusse, le retraité du Fisc, attablé un peu plus loin à siroter un panaché bien frappé), ils s'imaginent que les merdes c'est seulement pour les copains du privé. Faut pas t'illusionner, mec, ta pension les petits Black-Beurs y vont pas la trouver plus sympa que les nôtres. Le jour où ça va leur prendre ils te le mettront à toi aussi, profond, à sec et sans vaseline! Non mais des fois, y se croivent sortis de la couille à Jupiter, les gus, y rêvent!"
Brutalement privé de parole, Blaise Sanzel, profita d'une gorgée du précédent orateur pour tenter de reprendre l'avantage;
-"Ne mélangeons pas tout voyons, pour l'instant il s'agit juste de l'AGIRC et de l'ARRCO qui tapent dans leurs réserves. Les pensions des fonctionnaires, elles, voilà belle lurette qu'elles contribuent à creuser le déficit public, on les finance à crédit, tu n'as pas à t'inquiéter Marcel, tant que nous pourrons emprunter sur les marchés tout ira bien, après, naturellement..."
-"Eh oui, "après", lança Yves Rognes, tout content de trouver une occase de rebondir, après tu pourras faire comme les Grecs, chercher ta subsistance dans les poubelles...faudra te bouger le fion, vu qu'on sera plus nombreux à les fouiller, les poubelles, qu'à les remplir. Mais bon, de toute façon nous n'en sommes pas encore là, les capitaux se bousculent pour venir nous boucher le trou..."
-"Alors, si c'est ça la question, en effet, pour ce qui est de nous boucher le trou y a carrément la queue, conclut Foupallour, on n'a pas fini de sentir le brûlé côté pile, faites moi confiance!"
Sur ces paroles modérément optimistes mais frappées au coin du bon sens, tout le monde s'est quitté en se bombardant de "Joyeux Noëls". Je vous en souhaite autant, il faut en profiter tant que c'est encore toléré...
Et merde pour qui ne me lira pas.
Si vous voulez bien vous donner la peine de descendre un peu plus bas, pour éviter les machins qui clignotent...
Sacrebleu! On pourra dire tout ce qu'on voudra, gloser à l'infini, polémiquer à l'envi, grommeler dans sa barbe, se perdre en conjectures, se mettre martel en tête et la rate au court-bouillon, tout ce qu'on voudra vous dis-je, mais il faut se faire une raison, le Front National se comporte bel et bien désormais en parti homophile. Jusqu'à ces derniers temps il demeurait possible, encore, de vivre sur les vieilles idées reçues en regardant tous ces nauséabonds comme des amateurs de ratonnade et de chasse au pédé...terminé, fini, définitivement et sans espoir de retour! Le Rassemblement Bleu Marine de Marine fait désormais la part belle aux Musulmans en même temps qu'il accueille à bras ouverts les adeptes des sexualités hétérodoxes. Si c'est pas de la dédiabolisation ça, il faudrait qu'elle fasse quoi la petiote à Jean-Marie, les pieds au mur sans soutien-gorge avec un slip en résille et des pâquerettes dans les cheveux? Non, là je vous assure allez-y sans haine et sans crainte, on peut voter pour ces gens-là, ils possèdent le quota réglementaire d'invertis. D'ailleurs il ne me surprendrait pas qu'un jour ou l'autre la Patronne en personne nous fasse le coup du coming out! Manquerait pas grand chose, je vous assure... Bon, bref, en attendant nous avions déjà Steeve Briois - dans le genre légionnaire à tendance "tiens v'la du boudin, ramasse un peu le savon"- maintenant ce brave Philippot, l'énarque UMPS-compatible, qui se fait "outer" par closer sans trop forcer sur le démenti. Remarquez celui-là, j'avoue, ça ne me surprend pas trop, il m'a toujours fait l'effet du type qui a du mal à s'asseoir. Mais le plus fort, le plus extraordinaire, le plus estomaquant, le truc à ne surtout pas publier un 1er Avril, ça reste l'arrivée tonitruante parmi les fachos national-communistes financés par les banquiers de Vladimir Putin, du camarade Sebastien Chenu soi même. Chenu, transfuge de l'UMP, militant acharné du mariage par derrière et, pour couronner le tout, fondateur de "Gaylib" la LGBT "de droite"! Décidément c'est plus le front qui est national! Quand je pense qu'il existe encore des gauchiards arriérés pour chatouiller méchamment notre ami Corto (voir dans mes Blogues-Potes pour ceux qui, par impossible, ne le connaitraient pas encore) sur sa sensibilité droitière! Parti comme on les voit les Frontistes, d'ici qu'ils commencent sérieusement à s'implanter dans le Marais...
Attention toutefois, n'allez surtout pas regarder ce que je vous raconte là comme des marques d'homophobie. Pour moi, chacun prend son plaisir où il le trouve et tant pis si c'est dans des endroits où le commun des mortels s'emmerderait. Question de liberté, comprenez vous, on n'est plus au moyen-âge, que diable! Pour faire bon poids, j'ajouterai si vous le permettez qu'au temps de ma jeunesse folle je trouvais au moins une vertu aux pédérastes : ils ne me faisaient pas concurrence. Pour vous dire, j'allais jusqu'à déplorer qu'il y en ait si peu, vu qu'à l'époque, vers la fin des années soixante, tous les mecs de ma génération cavalaient aux fesses des mêmes nanas, ça se bousculait carrément, et personne ou presque ne manifestait quelque dilection que ce soit pour la jaquette flottante. Ce n'était pas la mode, semble-t-il. A telle enseigne que pour ma part, je ne connaissais qu'un seul et unique homo, un serveur de boîte de nuit que tout le monde appelait "Le Pédé", vous vous rendez compte? Une rareté! Il est vrai qu'à l'époque je ne vivais pas à Paris. Mais tout de même...
Trève de digressions, revenons-en donc au Fion National et à ses évolutions remarquables. Pour dame Marine l'équation se révèle fort complexe. Parvenir à ses fins, la pole-position à l'issue du premier tour de 2017, suppose qu'elle réalise en permanence le grand-écart entre l'électorat traditionnel de Papa, les communistes recyclés, les déçus du socialisme, les couillonnés de Sarkozy et le magma informe des peigne-culs qui choisissent leur bulletin un peu à l'aveuglette lorsque par hasard ils oublient de s'abstenir. Comme électorat ça manque d'homogénéité, voyez vous; pour garder tout ce petit monde bien soudé ensemble et prêt à voter comme un seul homme il faut une habileté méphistophélique. Tenez, par exemple, l'autre jour, acculée (...mais non!) par Jean-Jacques Bourrin (ou Bourdin, je ne sais plus trop) face à une question empreinte de la subtilité propre à ce camelot du journalisme de café du commerce, la malheureuse loupa carrément l'échappatoire. S'agissant d'expliciter sa position vis à vis de la torture, elle bafouilla un truc du genre "quand la bombe fait tic-tac-tic-tac, tous les moyens sont bons pour faire parler le terroriste". Mauvaise pioche! Non seulement la citation de Charles Trénet (Boum!) se révélait par trop approximative mais surtout la torture c'est tabou, pas question d'y toucher même pour sauver des milliers d'innocents! Défendu, forbidden, vietato, verboten! Un point c'est tout! Ils n'ont pas attendu, les autres, immédiatement ça canardait tous azimuts, comme quoi les chiens ne font pas des chats, que la diablesse montrait enfin son vrai visage, celui de la fille de son père, que le FN ça restait nazis, tortionnaires et compagnie... Bref, obligée de démentir illico, la pauvrette, pour limiter les dégats, tenter de rétablir une image patiemment fignolée depuis des années et en grand danger de se voir mise à bas en un clin d'oeil. Saloperie de Bourrin, va, avec son air con, sa vue basse et sa voix de mélécass galvanisé, faut s'en méfier comme de la peste et d'ébola réunis, c'est le plus dangereux! Rien d'aussi redoutable qu'un épais connard en position de force! Pourtant, elle n'avait dit que ce qu'elle pensait, au fond, et la vérité, somme toute, en plus...Ceux qui se souviennent du 11 Septembre 2001 et notamment des pauvres bougres obligés de se balancer par les fenêtres du soixante-douzième étage pour échapper au brasier, comprendront ce que je veux dire. Les ordures capables de ce genre d'horreur il faut les prendre avec des pincettes...chauffées à blanc! Avait elle vraiment besoin d'essayer laborieusement de se justifier? On peut en douter... Au moins l'incident montre-t-il clairement la difficulté de son boulot, à la mère tapedur, va falloir qu'elle s'accroche grave!
Surtout qu'elle aurait désormais, paraît-il, le Juge Van Ruynbecke aux miches, la Marine, et pour une obscure suspicion de financement occulte dénichée par l'Obs (c'est ainsi que désormais on appelle Le Nouvel Obscénateur). Il s'agirait d'un "micro parti" répondant au doux nom de "Jeanne" et qui permettrait à l'intéressée de se constituer un petit magot personnel, une poire pour la soif en cas de coup dur, si l'on en croit les journalopes de ce torchon de merde. Et comme on n'a aucune raison de les croire sur parole, on va tout de même attendre d'en savoir plus avant de traiter le sujet, si sujet il y a. Certes le Franchouille de base se fout bien pas mal de ces histoires de torture qui puent la diversion bien-pensante à plein nez; en revanche les affaires de financements illégaux font toujours leur petit effet sur l'électeur. Non, décidément, elle va en baver dans les mois qui viennent, la Fronteuse en chef, c'est évident : on ne descend pas impunément dans le marigot, pour peu qu'on y dérange les crocodiles en place...
En attendant, jetons un petit coup d'oeil, tout à l'heure, aux résultats de la législative partielle de l'Aube, celle pour remplacer le sémillant Baboin (ou Baroin, peut être, décidément j'ai du mal avec les noms, ce doit être l'âge). Il ne gagnera pas, le candidat du FN, pour sûr, mais je le verrais bien friser les quarante pour cent ce Bruno Subtil...tiens, drôle de blaze pour un politicard, il n'ira pas très loin celui-là!
A la semaine prochaine et couvrez vous bien, ce n'est pas le moment d'attraper froid vu que ça sent beaucoup le Sapin ces temps-ci.
Amitiés.
Et merde pour qui ne me lira pas.
On descend un petit peu, histoire d'éviter les pub qui font mal aux yeux...et aux nerfs.
Vaincue, écrasée, envahie, pillée, exsangue, pliée en deux sous le joug des Teutons vainqueurs, la France de Pétain et de Laval aurait dû, bien sûr, priver l'occupant de trains SNCF. Na! Pour pas qu'ils emmènent des Juifs vers l'horreur des camps d'extermination, m'enfin! Voilà qui tombe sous le sens, pas vrai? Un seul coupable, dans cette histoire-là : l'Etat Français avec ses chemins de fer! Un peu comme le coup du lampiste, si vous voulez, ou, mieux, le mec qui se fait piquer sa bagnole et qu'on accuse de tous les malheureux piétons écrabouillés par le voleur. Logique! En conséquence, pour indemniser les victimes, septante ans après, on vient chercher le contribuable franchouille! Pas les Allemands, quelle idée, ils fabriquent de si belles bagnoles ces braves gens! Non, non, les pelés, les galeux d'où venait tout le mal c'est nous autres, la bande des dégénérés à béret, avec notre sale SNCF collabo et notre échine courbée devant le Nazi abhorré. Alors nous allons raquer évidemment, la Justice Amerloque en ayant ainsi décidé; sinon nous ne vendrons jamais aucun TGV Outre-Atlantique, la chose apparaît certaine... d'ailleurs, même en payant... Et puis, me direz vous, il ne s'agit au bout du compte que de soixante millions, n'est-ce pas, une paille, une broutille, même pas l'épaisseur du trait de l'addition déficitaire. Et puis, de toute façon on s'en fout, on va les emprunter, tiens, vu qu'on les a pas -comme le reste - et que les types du Marché nous les prêteront pour presque rien, sans compter qu'on ne les remboursera jamais -comme le reste - alors qu'est-ce qu'on en a à foutre, hein, je vous le demande? Ah, le principe? Oui d'accord mais ça fait longtemps qu'on se le carre en guise de suppositoire le principe, c'était bon sous Charlot Gros-Pif ces conneries, aujourd'hui on la joue pragmatique, la fin justifie les moyens...et comme les moyens nous font cruellement défaut, eh bien, on a l'air fin! Il suffit pour s'en convaincre de contempler Hollandouille en grand uniforme Kazakh : quand on à l'air niais à ce point là et qu'on en rajoute à pleines brassées, faut pas s'étonner d'avoir à payer pour toutes les conneries du monde entier, on mérite! Sans compter, aussi, que nous ne cessons plus de nous repentir, de nous battre la coulpe, de nous couvrir la chetron de cendre encore brûlante à propos du génocide shoatesque, comme si Himmler et Goebbels fussent nés sur les bords de la Gartempe et comme si les chambres à gaz figuraient au rang des inventions prédictives sorties de l'imagination débridée de Jules Verne! Non, non, payons, payons vite et même tendons bien le derrière tout en fournissant la vaseline, ça sent bon la France tout ça, chacun son rôle, nous on joue les baisés, une vocation!
En même temps ce ne sont pas les griefs à l'égard de la France qui leur manquent, à ces braves Israélites. Par les temps qui courent il ne fait pas bon porter la Kippa, surtout dans nos quartchiers sans-cible, "la sécurité des Juifs n'est plus assurée dans notre pays" c'est Cukierman le patron du CRIF qui l'affirme! Il faut dire que les attentats judéophobes tendent à se multiplier voire à s'institutionnaliser car nos petits énergumènes de banlieue, sachant avoir tous les droits, ne se gênent guère pour faire la peau à leur ennemi héréditaire. Notez bien qu'après tout, nos concitoyens baptisés au sécateur portent leur part de responsabilité dans le tsunami migratoire musulman qui nous submerge. Il votent bien-pensant depuis toujours ces gens-là, une vieille tradition chez eux, ils ont donc contribué à ouvrir toute grande la porte de leur bergerie, les loups s'y sont engouffrés! Alors pourquoi ça les étonne de se faire bouffer l'un après l'autre? En tout cas, le temps approche où ils devront choisir entre la valise et le cercueil...avec juste un peu d'avance sur nous autres, bien sûr. Alors, enfin, ils commencent à évoluer nos représentants du Peuple Elu : Arno Klarsfeld ose soutenir que l'antisémitisme français vient essentiellement des "jeunes" issus de l'immigration musulmane et le Cukierman précité se hasarde, en équilibre instable sur le fil du rasoir, à chanter les louanges de Marine Le Pen tout en s'efforçant de dénigrer encore le Front National ... Tout cela ressemble à une prise de conscience. Il faut dire que la trouille commence à faire son petit effet : le flot tumultueux des innombrables mérah en herbe, fruits vénéneux des allocations familiales et du laxisme incongru des Pouvoirs Publics, semble bien en mesure d'engloutir la communauté des ouailles du Rabbin. Les Israélites de Neuilly, pour le moment, ne sentent pas grand chose mais leurs coreligionnaires des arrondissements infectés et des banlieues pourries vivent souvent l'enfer au quotidien...au point que les malheureux qui ne décampent pas encore vers Israël votent bleu-marine pour tenter de se consoler. Y a de l'évolution, je vous dis!
Bon. Moi, vous me connaissez, pas antisémite pour deux sous -et puis d'abord c'est défendu- je ne verrais aucun inconvénient à ce que ces pauvres victimes viennent grossir les rangs des affreux qui suffrageront nauséabond lors des prochaines échéances. D'abord, entre persécutés il faut se soutenir, se serrer les coudes, faire Front commun, quoi, c'est bien le cas de le dire. Oui, parce qu'en fait de persécution le bon catholique n'a rien en envier aux fidèles des synagogues. Et ces derniers, au moins, on les plaint, on les rassure, on les console en Haut-Lieu, ils ont droit à tous les discours de soutien sans faille, à tous les articles judéophiles, à toutes les décisions de justice sans pitié à l'égard de l'antisémitisme honni. Nous? Que dalle! Juste qu'on nous interdit la Crèche, voilà! On nous transforme les sapins de Noël en godemichets anals (voir Sale temps pour les Sapin...) et le seul droit qui nous demeure consenti consiste à fermer notre gueule! Aujourd'hui, le Catholique Européen c'est le paria absolu, même son Pape lui défèque au visage; bientôt nous subirons le sort des Chrétiens d'Orient, pourchassés, torturés, massacrés par des Mahométans fanatisés à mort. Et pourtant, à nous autres on ne peut même pas reprocher la dévotion, nous n'en avons plus rien à foutre. La seule religion traditionnelle qui résiste encore, dans ce pays, ça reste le Gauchiardisme, encore pratiqué par plein de couillons crédules et d'hypocrites pernicieux style Framac. Mais même cette religion-là part en quenouille, dézinguée par le comportement inénarrable des copains-voyous du Président Culbuto. Les Cahuzac, Benguigui, Morelle, Thévenot, Arif, Lamdaoui (à noter la sur-représentation d'une diversité particulièrement enrichissante) pour ne citer que les cas les plus criants. A force, même le soixante-huitard le plus acharné finirait par nourrir des doutes et le prolo le plus enraciné en marxisme-léninisme par basculer côté facho. Jusqu'à la CGT qui lui pète entre les doigts à ce pitoyable dernier!
La CGT, vous vous rendez compte! Le dernier refuge de l'ouvrier communard, le rempart ultime contre les salauds de patrons et leurs stipendiaires politicards! Eh bien voilà encore un mythe qui s'envole en fumée toxique, un rève qui se transforme en cauchemar, une jolie fleur de bitume qui se fane...le drame absolu! Oh, bien sûr, on ne les croyait pas plus honnêtes que d'autres, au fond, les syndicalistes de la faucille et du marteau. Bien sûr...seulement jusqu'à présent on leur foutait la paix, on les laissait affiner en douce leur petit fromage sans rien porter sur la place publique; quand un parlementaire pondait un rapport sur les pratiques syndicales, comme cela s'est vu voici quelques petites années, on se dépéchait de le foutre à la poubelle, circulez y a rien à voir! Et là, tout à coup, vlan! Un salaud de traître qui balance au Canard toute la sauce sur les pratiques à peine un peu abusives du Secrétaire Général. Un appartement et un burlingue luxueusement aménagés au frais du cotisant, une "prime de départ" versée au moment de son arrivée...rien de méchant, d'accord, seulement ça la fout mal, comprenez vous, surtout en temps de crise, de chômage et de serrage de ceinture. Le Travailleur la trouve saumâtre, la base demande des comptes, les cardinaux de curie, je veux dire les membres du Bureau Confédéral se trouvent bien emmerdés, d'autant qu'ils pourraient bien avoir un peu le nez sale, eux aussi. Admettons, quand on s'appelle Lepaon, qu'on se sente porté à faire la roue, c'est naturel après tout...seulement faut pas que ça se sache, surtout pas! Dans le cas contraire ce temple magnifique de la Classe Ouvrière, ancré sur ses fondations ante-jauressiennes, pourrait bien s'effondrer dans un fracas d'apocalypse! Et ce con de Lepaon qui reste là, bien tranquille sur son fauteuil en cuir de russie (même pas d'URSS!) à attendre que la tempête se calme... ben non, cette fois-ci ça ne passera pas! Avec le Canard Enchaîné au milieu, vous pensez...comme s'ils ne pouvaient pas, selon leur habitude, se contenter de taper sur la Droite, ces enfoirés! Eh non! Il a fallu qu'ils se parent des plumes de Lepaon, ces vicelards à geais d'encre! La mort dans l'âme il faudra tôt ou tard se résoudre à l'administrer Lepaon-pan cucul! (En espérant que personne ne l'ait encore faite, celle-là).
Avec toutes mes excuses et mes affectueuses amitiés.
Et merde pour qui ne me lira pas.
Je commence un peu plus bas pour vous éviter les affres de ces pubs à la con qui me sabotent le blog...
Bon ben voilà, ça devait arriver un jour ou l'autre : je reste sec! Rien à dire, black-out complet, pas d'idées, aucun intérêt pour ce qui se passe chez nous, ailleurs non plus, que dalle. Pour quoi on pourrait se passionner par les temps qui courent, hein? je vous le demande! On ne va tout de même pas disserter sur les élections de l'UMP, y a des bornes aux limites! Grosso modo on connaissait le résultat à l'avance (Sarkozy un - Le Maire deux) et en plus, perso, je m'en fous bien pas mal, ces gens-là ont depuis longtemps cessé de m'intéresser. Le congrès du FN, à Lyon? Qu'est-ce qu'on pourrait en brandouiller? Des politicards comme les autres, Marine et ses potes, leur seul mérite réside dans la position qu'ils adoptent depuis quarante ans sur l'immigration et ses funestes conséquences; c'est déjà beaucoup, vous me direz...certes, je n'en disconviens pas mais ça change quoi, au bout du compte? Hé oui, rien du tout! Nous continuons gentiment notre petit bonhomme de chemin vers la catastrophe, le nez au vent et la chansonnette aux lèvres. Tout va pour le mieux, après tout : les "marchés" continuent à nous refiler des milliards à des taux dérisoires, les cours du pétrole s'effondrent à tel point qu'on n'a même pas senti les effets de la baisse de l'Euro sur les importations et notre petit Président file le parfait amour avec son actrice socialiste de série B. On demanderait quoi de plus à la vie? Un peu moins de chômage sans doute, d'accord mais tant que Popôle Emploi arrive à payer les prestations on maîtrise, on garde la situation bien en mains...et puis après tout, dix à douze pour cent de couillons sans boulot ça veut dire entre quatre vingt-huit et quatre vingt dix pour cent qui bossent...enfin vu le paquet de fonctionnaires on va dire "qui touchent un salaire" ce sera plus près de la vérité. On le regrettera tout ça, dans quelques temps, quand on aura pris le gros bouillon! Alors profitons en, que diable, amusons nous, faisons les fous, la vie passera comme un rêve, bordel de merde, faut pas toujours voir le côté sombre, on nage encore dans le bonheur et l'opulence! Si, si, je vous assure et en plus c'est tout artificiel, bidon, à crédit, éphémère...raison de plus pour savourer, il sera bien temps de pleurer quand la misère nous tombera vraiment sur les endosses comme une doudoune en plomb. Alors, hein, vous voyez bien qu'il faut garder le moral, pas dégringoler comme des cons dans la morosité, enfin! Y a vraiment pas de quoi. Pour le moment.
Pareil pour le changement climatique. On commence ça et là à en percevoir les effets, mais à côté de ce qui nous attend d'ici la fin du siècle on reste au niveau de la roupie de sansonnet. La Méditerranée affiche en ce moment deux ou trois degrés de trop, d'accord, ça nous provoque des pluies diluviennes à répétition, des inondations, des coups de mer à tire larigot, plus un ou deux glandus de temps en temps qui se font ramasser et y laissent leur peau. Bon. De la gnognote, je vous jure. D'ailleurs, à part Nicolas Hulot et ses potes de l'écologie fantasmatique, on n'est même pas certain des causes. Il fait de plus en plus chaud, certes, les glaciers et les pôles (sauf le précité de l'Emploi) fondent, certes, jamais on n'avait constaté d'évolution aussi rapide, O.K. mais bon, une fois qu'on a dit ça on fait quoi? Ben oui, on attend que la banquise disparaisse pour aller pomper le pétrole qui se trouve dessous...on en a besoin, flûte! Et qu'on ne vienne pas nous parler des "énergies alternatives". Foutaise! On peut à la rigueur amuser les enfants de l'école républicaine avec le solaire et l'éolien mais le seul truc qui produise de l'énergie efficace et bon marché ça reste le carbone fossile. Alors, les émissions de gaz à effet de serre on verra plus tard, comme les Amerloques et les Chinetoques, rendez vous dans vingt ans. On aurait le choix, à la rigueur, je ne dis pas, on pourrait tenter quelque chose...mais ce n'est pas le cas. Condamnés à brûler du pétrole, du gaz et du charbon, nous ne saurions y échapper et tant pis si ça nous nique le climat. D'ailleurs le vrai problème, la cause de tout, réside, nous le savons pertinemment, dans la prolifération démentielle de l'espèce humaine. La Nature tente bien de se défendre avec le sida, avec ébola, mais sans succès, nous savons y faire maintenant face aux maladies : va falloir qu'elle trouve autre chose la Nature...autre chose, oui, le changement climatique probablement. Ca lui prendra plus de temps mais elle n'en a rien à foutre, elle n'est pas pressée. Elle nous aura sûrement par les cataclysmes atmosphériques, la Nature, d'ici quelques décennies. En attendant prenons du bon temps, tout baigne (surtout dans le Var et le Languedoc-Roussillon) nos descendants paieront la douloureuse, continuons à nous la couler douce tant que ça dure, carpe diem!
En même temps, vous avez les Ecolos Suisses. Alors là, attention les yeux, rien à voir avec notre gourdasse Duflot, nos rigolos à moustache style Mamère ou Bové, ni même avec le bouffi bridé qu'on voit tout le temps à la télé. Tout le contraire! Figurez vous que l'Ecolo Helvète, lui, il propose des referenda d'initiative populaire en vue de limiter drastiquement l'immigration! Oui, parfaitement, vous avez bien lu! L'idée consiste à fixer le solde migratoire à 0,2% de la population et ce pour éviter le bétonnage effréné du pays: au rythme actuel, en 2050 il ne restera plus que le sommet des montagnes à bâtir. S'ils voulaient garder quelques mètres carrés d'espace vert, les Suissagas, ils auraient intérêt à voter oui. Mais attendez, ce n'est pas tout, imaginez vous que ces fabuleux écologistes d'un autre monde suggèrent aussi de consacrer dix pour cent des fonds d'aide pour le développement au contrôle des naissances dans les "pays du sud"! Non mais vous vous rendez compte! Si, par coup de bol du destin, votre serviteur avait la nationalité Helvétique il prendrait immédiatement la carte du Parti Ecolo, le seul qui propose de freiner à la fois l'immigration et l'expansion démographique tiers-mondiste! Nouratin écolo! vous mordez le topo? Je n'aurais même pas cru que des gens aussi merveilleux puissent exister! Vous connaissez déjà mon admirative affection pour les compatriotes de Guillaume Tell (voir notamment Les suisses persistent et signent.) mais sur ce coup-là, je l'avoue, ils me perforent carrément le trou de Bâle! Respect!
Hélas, il me faut tout de même déchanter, l'initiative vient de se voir rejetée par une grosse majorité de votants. Les Suisses craignent, aux dires des folliculaires, de se retrouver sans main d'oeuvre de basse besogne. Quel dommage! Il convient toutefois de préciser que ces braves citoyens des Cantons s'exprimaient simultanément sur deux autres sujets : une initiative de droite relative à l'imposition d'un seuil minimal d'or dans les coffres de la Banque Nationale et une de gauche sur la suppression de l'impôt forfaitaire bénéficiant aux riches étrangers. Soucieux à la fois de laisser les mains libres à leurs stratèges financiers et de conserver par devers eux les milliards des réfugiés fiscaux, les petits Suisses ont répondu non aux trois questions en omettant, sans doute, d'examiner de plus près celle que soulevaient leurs fabuleux Ecolos. Tant pis, ça viendra peut être...un peu plus plus tard, qui sait? il ne faut pas désespérer du bon sens helvétique. Sans compter que, pour la première fois, le problème de la surpopulation et des moyens de la combattre s'est trouvé exposé sur la place publique, bien en vue...même si nos media détournent pieusement le regard. Cela prouve qu'on peut militer pour la préservation de l'environnement sans pour autant se montrer encore plus con que la moyenne des Gauchiards...et puis aussi que dans un pays vraiment démocratique la censure bien-pensante n'empêche pas de regarder les réalités en face. Ca aussi, ça fait rêver!
Vive la Suisse, c'est le dernier bastion de l'Occident!
Bon Dimanche.
Et merde pour qui ne me lira pas.
Ne bénéficiant pas de la sérénité nécessaire pour écrire mes billevesées dans le calme et la concentration, j'ai appuyé sur le mauvais bouton et publié l'article ci-dessous intitulé " Ainsi parla Jean Trentasseur" bien avant qu'il ne soit terminé. Désormais c'est fait, tant bien que mal, vous pouvez donc y aller, si le coeur vous en dit.
A plus et joyeux Dimanche!
Ainsi parla Jean Trentasseur :
-"Messieurs, depuis des chiées d'années j'en ai assez entendu autour de cet auguste zinc pour pouvoir aujourd'hui vous enfoncer le tarin dans votre caca! Car, n'est-ce pas, ma consoeur Marine, votre tendre amie qui déclarait naguère à la ville et au monde le fondamentalisme islamiste ne pousse pas, que je sache, dans les prairies normandes, vient de se prendre en pleine poire un cinglant démenti. Les faits parlent d'eux même : le jeune Maxime, fils de Noëlle et d'Alain, né et grandi dans un trou du cul du bon dieu du fin-fond de l'Eure, sur la route de Louviers, tout près de Taurel, la patrie de Simon Cussonnet (1), même pas élevé dans la plus insignifiante des HLM diversifiées, pur Normand de souche et non pollué par l'odieux contact de l'immigration, eh bien ledit Maxime participe au Djihad animé d'une indicible ferveur, laquelle le conduit à couper allégrement des têtes devant les caméras de Daech. Alors, mes bons amis, en vérité je vous le dis : rabaissez vos caquets, fermez vos claque-merdes, venez à résipiscence, faites amende honorable, prenez-en de la graine et cultivez la dans la pépinière! L'Islam radical fleurit en Normandie Profonde comme partout ailleurs dans le monde, il est le fils naturel d'Internet et de l'abrutissement des masses par la sous-culture américano-capitaliste. Maxime, aussi normand que son illustre prédécesseur Gérard, le chanteur enrhumé, s'est converti tout seul, sur le Web! Eût il, au moins, fréquenté une mosquée, sa foi se fût peut être trouvée canalisée par la sagesse pacifique de ses co-religionnaires. Isolé, en proie aux lavages de cerveaux sophistiqués qui se pratiquent assidûment sur les sites djihadistes, son sort était scellé d'emblée : la voie du crime contre l'Humanité, au rebours des préceptes les plus sacrés de la religion Musulmane! C.Q.F.D. Je vous remercie et à votre bonne santé".
Et Maître Trentasseur, sous les applaudissements nourris du bistrot en délire, s'envoya d'un trait son double Whisky dont les glaçons tintaient si joliment contre le verre qu'on eût dit un carillon céleste témoignant de l'Approbation Divine au prêche inspiré du socialiste à Barreau.
Nous autres, les nauséabonds bas de la coiffe, nous restions cois, médusés, sentant confusément le vent de l'imposture mais vaincus, terrassés par l'implacable logique de la démonstration. Sauf Maurice, tout de même, le vieux lion déplumé remonté au gros-rouge-qui- tache, à la bière-pression et au petit jaune de Marseille.
-"Mouais, répliqua ce dernier... un peu comme Mohamed Merah et Mehdi Nemmouche, quoi, des Normands de j'sais pas combien de générations! Et puis d'ailleurs, c'est bien connu, le Coran il a été rédigé en sous-main par Sainte Thérèse de Lisieux, m'enfin, faut pas nous la faire! Sauf qu'Internet, moi je veux bien mais en général la musulmanose pour l'attraper faut un minimum de contagion. Toute ces conneries, avant l'arrivée des envahisseurs, non seulement on n'en parlait pas mais encore on ignorait jusqu'à leur existence. Moi, je me rappelle avant la guerre d'Algérie quand par extraordinaire on rencontrait un Muz, il se trimballait des tapis sur le dos, toujours prêt à vous les marchander pour trois francs six sous. On les appelait des "Sidi" et on ne cherchait même pas à savoir comment ils se démerdaient pour prier Allah, s'ils bouffaient des trucs spéciaux ni s'ils entretenaient plusieurs nanas au Bled. On s'en foutait, quoi. Complètement! Eh ben je vous garantis que de ce temps là, même si on avait disposé d'Internet, jamais on ne serait allé se convertir à leur combine à pétrole, jamais! Et ça vaut aussi pour les Normands, vu qu'à part se torcher le pif au calva et le troufignard avec du papier journal dont ils arrivaient à peine à déchiffrer les gros titres, ils ne pensaient pas à mal, ces gens-là, même à l'Eglise y avait que les gonzesses qui y mettaient les pieds. Alors l'Islam, c'est vous dire!"
-"Et puis, renchérit Grauburle, il a bon dos, Internet, vu qu'y a notre pote Géo, quasiment voisin du petit Maxime Barbapoux, là, qui nous signale en commentaire une jolie mosquée tout près de chez ce dernier, tenue par un imam vachement comme il faut vu qu'il cause pas une broque de français, le mec, juste arabe, comme Mahomet. Alors non seulement il l'a formé au salafisme, le Normand, mais encore il lui a appris la langue de Dieu. Comme ça il possédait tout le bagage pour partir décapiter de l'infidèle en Syrie. Ca vous paraît pas curieux comme coïncidence, ça Maître, la Mosquée et l'Imam?"
-"Sans compter, ajouta Jeannot Foupallour tout en rotant son demi, produisant ainsi un effet de souffle pire que la fatale grenade du barrage de Sivens, sans compter que ces histoires de convertis ça commence à filer les jetons. Faut dire que dans les quartiers sans cible, le mec qui fait pas sa prière-cul-en-l'air cinq fois par jour il a autant de chances de survie qu'à fumer sa clope assis au milieu de l'autoroute. Question de vie ou de mort, la conversion (voir La figure comme le cul!) et après t'as intérêt à faire du zèle, pas qu'y croivent à la manoeuvre dilatoire, les barbus, sans quoi t'es encore pire dans la merde! Du coup, ben voilà, forcément on se coltine des palanquées de petits Céfrans mahométans; les plus tordus finissent par se prendre au jeu, surtout qu'on les y aide bien, et puis ils atterrissent dans les armées de l'Etat Islamique de mes deux, à jouer les vedettes sur les films de zigouillage afin d'apporter de l'eau au moulin bien-pensant de Maître Trentasseur. C'est cul effe day!"
Que voulez vous, l'espoir changea de camp, le combat changea d'âme et l'avantage pris au départ par notre avocat socialo vira ainsi, une fois encore, à la déroute en rase campagne. Il faut dire qu'avec les croyants, quelle que soit leur religion -la socialiste ne se différenciant guère des autres- le dogme l'emportera toujours sur le "sens commun" comme disent les nouveaux potes de Sarko. Le Bien-Pensant, vous avez beau lui coller une merde de chien sous le nez, il vous dira toujours qu'il s'agit de caviar si ça correspond à ses convictions...c'est seulement quand on lui suggère de manger qu'il revient à la raison, faut pas déconner tout de même! Cependant, depuis tous ces jeunes moudjahidines plus ou moins "français" dont les media nous refilent en continu nos doses quotidiennes, le bon populo commence à se rendre compte de l'ampleur du désastre et du pétrin dans lequel on nous a enfoncés depuis quarante ans. Il ne restera bientôt plus que les bobos et autres gauchiards des quartiers huppés pour ne pas capter qu'avec leurs conneries on est bel et bien foutu...
Et abandonnant la partie dans un élan de dignité empanachée:
"Messieurs, je vous laisse à vos terreurs minables de petits bourges aux idées rabougries dignes des heures les plus sombres etc... le fascisme ne passera pas!"
Ainsi conclut Jean Trentasseur en claquant la porte...je ne sais pas si le fascisme était passé mais le socialisme avait encore un coup oublié de payer sa tournée!
Avec mes excuses pour le dérangement et mes amitiés bien sincères.
Et merde pour qui ne me lira pas.
(1)Une vieille blague de l'époque des P.T.T. :
"Simon Cussonnet
Taurel (Eure)"
Il en a fallu des années pour en arriver à un résultat pareil! Mais non! Pas dix ans, pas vingt ans non plus, jamais de la vie, vous n'y êtes pas! Je veux dire deux millénaires et demi, grosso-modo, depuis que des Grecs se mirent en tête d'utiliser la raison pour comprendre l'Univers. Bien sûr, pendant tout ce temps-là nous avons connu des époques barbares, des renaissances, des hauts et des bas en somme, mais au bout du compte c'est nous, l'Occident Européen, qui avons envoyé Philae se poser sur une comète à une demi-heure de lumière de notre chouette planète. Ben oui, le Songhoï et le Monomotapa n'y sont pour rien, pas plus que l'Empire du Milieu ni même l'Ottoman. Que voulez vous que je vous dise, moi, nous avons honte de ce que nous sommes, nous autres gens de la vieille Europe, au point de nous excuser d'exister... et pourtant c'est nous qui avons tout fait, depuis Eratosthène jusqu'à Stephen Hawking en passant par Copernic, Galilée, Newton, Poincaré, Lemaître et tant d'autres... Au moment où des cohortes d'étrangers mal dégrossis prétendent nous ramener aux moeurs du sixième siècle après Jésus-Christ, il semble bon de rappeler que sans l'Occident et donc sans l'Europe qui en constitue l'essence et le berceau, l'Humanité en serait probablement encore à chercher les divinités au sein des constellations et les présages, bons ou mauvais, dans les comètes. Or, les comètes nous y allons, nous y installons un petit laboratoire, nous les forons, nous les analysons. Bientôt nous en tirerons des enseignements sans prix sur l'origine de notre monde et peut être, qui sait, de la vie. C'est tout de même autre chose que de psalmodier des sourates ça, non?
Evidemment on peut en penser ce qu'on veut, les gens convenables parleraient, conformément à la stupidité grégaire imposée par les media, d'un discours raciste et bon pour cette poubelle dans laquelle on entasse pêle-mêle la famille Le Pen, Soral, Zemmour, Rioufol, voire même ce pauvre Finkielkraut qui osa écrire sur notre "Identité malheureuse". Eh bien soit! Je ne me sens pas si mal en la compagnie des derniers rebelles. L'Occident Chrétien moribond, empoisonné à petit feu par sa progéniture ingrate, mérite bien qu'on se rebiffe contre son assassinat; d'autant qu'il a encore de beaux restes, il suffirait de pas grand chose pour lui rendre la santé : un peu d'objectivité de la part de nos chères "élites"...oui, je sais, c'est trop demander. En attendant, avec Rosetta et Philae, il m'a offert un sompteux cadeau d'anniversaire, l'Occident Européen, à l'occasion des six ans d'Onéfoutus.
Oui, parce qu'aujourd'hui même ce petit blog confidentiel autant que mal fagoté entre dans sa septième année. Il connut le jour sous Sarko, en pleine crise des frères Lehman, avec l'ambition limitée de ceux qui ne mettent aucune chance de leur côté.... une façon comme une autre d'éviter les déceptions. Je me trouve fort aise de la coïncidence avec cette exploration sidérale lointaine parce qu'elle me fournit l'occasion d'oublier un instant la crasse médiocratique ambiante, les histoires de Jouyet/Fillon, les déballonnages de Cazeneuve, les battues au "tigre" en Seine et Marne profonde, les gigotements sarkozyques à visées umpistes et même les G20 avec mise de Vladimir Putin au ban de la Société des connards américano-européens. Toutes ces couillonnades et tous les pauvres imbéciles flamboyants qui nous les balancent en pleine poire à longueur de temps, ne pèsent pas grand chose au regard de ces laborieux qui, dans l'ombre et la discrétion, oeuvrent avec constance à la progression de la Connaissance. Prenez deux exemple au hasard, tenez : Bernard-Henri Lévy et Jean-Pierre Bibring. Le premier, vous le connaissez tous, à fond, un peu comme si vous l'aviez fabriqué vous même. Le second, je mettrais presque un morceau de ma personne à couper - à définir plus tard- que la plupart d'entre vous n'en a jamais entendu parler. Un garçon très effacé, ce M. Bibring, pas médiatique pour deux sous avec sa tronche à la Einstein matinée de Tournesol. Il a pourtant consacré sa vie à l'exploration des planètes du Système Solaire en tant que responsable de programmes tels que Mars Express et il se trouve aujourd'hui, comme patron scientifique de la mission Rosetta, au coeur de l'étude des données récoltées sur notre fameuse comète. Ce type-là, comme pas mal d'autres qu'on ignore tout autant, contribue de la manière la plus cruciale à l'avancée de la Science. Il contribue à quoi BHL? Oui, c'est ça, à emmerder le monde!
Vous me direz : qu'est-ce que ça peut bien nous foutre d'aller tirer de la poussière sur la comète alors que nos politicard y tirent, depuis des décennies, des plans plus foireux les uns que les autres? Et je vous répondrai, bien sûr, car il apparaît particulièrement aisé de faire à la fois les demandes et les réponses, que les matériaux qui composent ce petit astre vagabond demeurent dans l'état où ils se trouvaient lors de la formation du Système Solaire, voilà quatre milliards et demi d'années. Leur étude nous permettra d'en apprendre plus sur notre monde qu'au cours des vingt-cinq siècles passés. Outre la satisfaction de nos curiosités humaines, cela ouvre des perspectives fabuleuses à la recherche fondamentale, avec les retombées concrètes qui n'ont jamais manqué de suivre tôt ou tard cette sorte de progrès. Voilà pourquoi, en dépit de son pessimisme viscéral, Onéfoutus apprécie beaucoup son cadeau d'anniversaire.
Une chance d'ailleurs, le coup de la comète. Sans cela, comme joyeuse nouvelle on se retrouvait avec les décapitations d'un nouvel otage américain et de dix-huit militaires Syriens zigouillés à la chaîne par un détachement d'autant de Djihadistes au milieu desquels, statistiquement, devaient se trouver un ou deux "Français" de nos banlieues. D'ailleurs, soit dit au passage, j'ai remarqué que nos chers media en mettaient des tartines longues et épaisses comme le chose de Rocco sur le malheureux Amerloque, tout en passant quasiment sous silence le sort des soldats. On dirait que pour nos pisse-copies une seule tronche de compatriote d'Obama en vaut bien plus de dix-huit du moment que celles-ci appartiennent à des affidés d'Assad...Mais attention, hein, ça se passe au niveau subconscient, ça se fait tout seul sans réflexion préalable : pour les serviteurs zélés de la Presse Franchouille c'est naturel...du moment que la Bien-Pensance n'y trouve rien à redire, pas vrai?
Finissez bien ce Dimanche et passez une excellente semaine, nous y trouverons sûrement de quoi discuter la prochaine fois.
Et, en attendant, merde pour qui ne me lira pas.
Qu'est-ce qu'il n'avait pas sorti là, le pauvre footballeur! Un scandale, un maelström, un tsunami! Le ciel qui lui tombait dessus tout soudain avec les étoiles, les planètes, les comètes et les astéroïdes, en même temps, sans préavis, apocalypse now si vous voyez! Sur le coup, évidemment il n'a rien compris à ce qui lui arrivait, le mec, vous pensez, un entraîneur d'équipe de balle au pied, qu'est-ce que vous voulez qu'il capte aux infinies subtilités du politiquement-correct sauce germanopratine? Il se contente de dire sa vérité, sans trop se méfier des pièges perfides dissimulés sous les micros et les caméras des media vicelards toujours à l'affut du gros scoop mal-pensant. Les propos du malheureux en question se résumaient somme toute à peu de chose; à les entendre d'une oreille insuffisamment attentive comme il sied à cette sorte de discours sans grand intérêt, on n'y verrait aucunement malice. Jugez plutôt : "le joueur type Africain (premiere manifestation du plus horrible racisme ordinaire) ne coûte pas cher, (négrier, va!) il se révèle fort et généralement prêt au combat. Toutefois, il faut aussi des nordistes (sic) parcequ'il convient d'avoir, sur le terrain, de l'intelligence et de la technique (seconde abomination : gravissime! Parce qu'a contrario on peut en déduire que le black, non seulement il est con mais encore il joue comme une main -comme un pied, en l'occurence, ça manquerait de pertinence-)...et voilà tout.
Si, donc, au premier abord la phrase en cause semble tout à fait anodine, au deuxième rabord elle apparaît susceptible de provoquer les réactions les plus violentes chez nos amis de l'antiracisme officiel-professionnel. Suffit de bien y regarder, enfin! Et bien entendu ça n'a pas manqué de tomber de tous les côtés à commencer par le régional de l'étape, le footballeur retraité bien connu pour ses farouches prises de position blacko-défensives, ses petits soucis cardio-vasculaires et ses tabassages de concubine télévisuelle. (Vous m'excuserez mais j'évite de citer les noms, n'ayant pas les moyens d'assumer les dommages-intérêts princiers accordés par les Juges-Rouges en pareille hypothèse, c'est déjà assez dangereux comme ça). Bref, le malencontreux entraîneur se voyait, sans rien y comprendre, cloué illico au pilori de l'infâmie nauséabonde, livré aussi sec à la vindicte médiatique et menacé des pires sévices républicains à commencer par les plaintes courroucées des associations spécialisées dans les discriminations, les stigmatisations et les provocations à la haine raciale...enfin le contraire, quoi. Pétrifié pendant deux-trois jours, le type a fini par sacrifier à la procédure en vigueur, en organisant des excuses publiques en forme de conférence de presse et plaidant une regrettable méconnaissance des finesses sémantiques censée expliquer, mais en aucun cas ne justifier, l'épouvantable "dérapage" dont, à son immense regret, il s'était rendu coupable. Mieux vaut tard que jamais, jugea la Presse; cependant, l'homme traînera ad vitam aeternam le boulet de sa puante indignité. C'est bien le moins! A telle enseigne que le match de ce Samedi, à Lens, lui valut dix minutes de sifflets, de huées et de crachats de la part d'un public, pourtant nordiste, mais néammoins très attaché à son équipe en grande partie constituée d'Africains bon-marché (que voulez vous, c'est la crise et puis, aussi, le concerto en sol mineur...vu que nous étions juste au début du match...) Toute blague douteuse mise à part, notre entraîneur au verbe incontrôlé finit par fondre en larmes telle une madeleine proustienne sur son banc de touche... mais il fut très affectueusement consolé ensuite par les gros bisous de son joueur Malien, l'auteur miraculeux du but de la victoire : tout est bien qui finit bien! Sauf que, tout de même, pour ceux qui ne s'en seraient pas encore aperçu, notamment les supporteurs de foot les plus bas de plafond -je ne parle aucunement du sieur Bilger, vous pensez- la dictature intellectuelle de l'orthodoxie bien-pensante se montre de plus en plus menaçante. A ce train là, nous ne pourrons bientôt plus prononcer des mots comme "africain" ou "musulman" voire "footballeur" -le quasi-synonyme des deux précédents- sans risquer la prison...Et pour ce qui est de les écrire, je ne vous dis pas... heureusement que la Charia prescrit les pires supplices, sans quoi nous nous retrouverions fort dépourvus, un jour ou l'autre, en matière d'échelle des sanctions. Numérotons nos abattis, amis blogueurs facho-réacs, la crucifixion nous pend au nez...enfin si j'ose ainsi m'exprimer.
En tout cas, si la liberté d'expression et même la liberté tout court se ratatinent, par chez nous, en raison inverse du Grand Changement de Population, on n'en constate pas autant du côté de nos amis d'Outre Atlantique. Au moins pour ce qui concerne mon copain Hank Hulley. Lui, sa population change aussi, l'air de rien, mais sans incidence sur son franc parler de sale WASP du Middle-West, ouvertement raciste et heureux de l'être.
-"Hi, Old Frog, m'apostropha cet abruti l'autre matin au téléphone, t'as vu la gamelle qu'il s'est ramassée le Bamboula? Ce coup-là il s'arrête vraiment de nous casser les super-balls, ce bloody bastard de mes deux! On va lui mijoter une fin de mandat à sa mesure au mal-blanchi, tu vas voir ça, putain, même les négros votent plus pour lui, dis donc, ils ont fini par s'apercevoir qu'il était encore plus naze que Carter...et pourtant tout le monde le savait (voir Peanuts's back!). Remarque, il nous a foutus dans la merde, le blackos, mais pas que nous, ça c'est sûr. Le monde entier il a pourri, ce motherfucker, à lâcher le morceau là où il fallait serrer encore plus fort la vis. En Irak, surtout, bordel, on voit bien le résultat, pas vrai? Et maintenant vous avez le Prix Nobel de la Paix qui envoie ses bombardiers comme le premier Deubel You Bush venu! Mais personne ne s'en gaffe chez vous, il pourrait vous chier sur la tronche vous lui passeriez le papier en le remerciant avec effusion. Ben nous, finalement, on a décidé de lui couper les burnes. Pas trop tôt mais bon, on ne peut pas revenir sur les erreurs du passé, pas vrai? Alors dégustons le soulagement et passons à autre chose, y a du boulot pour réparer ses conneries au beau bronzé!"
A ce stade de la conversation à sens unique, je crus bon de lui faire remarquer qu'avec trois points et demi de croissance et dans les cinq pour cent de chômedus, on ne voit pas vraiment de quoi ils auraient à se plaindre les U.S. en comparaison de certains-suivez mon regard...
-"Eh ben voilà, tiens, c'est bien une réflexion de bouffeurs de grenouilles, ça, bullshit ! Chez nous, tu vois, les politicards on leur laisse la politique et, pour ce qui regarde les affaires, chacun s'occupe des siennes. Comme ça on limite les dégâts. Vous autres, quand vos affaires partent en quenouille vous accusez vos politicards, alors du coup ils s'en mêlent et là, évidemment, ça vire très vite au cercle vicieux suivi, de près ou de loin, par la bérésina. Pourquoi, nous autres on est les rois du monde et on fait la pluie et le beau temps partout, même en Chine mon con joli? Ben voilà : pour ça, parce qu'on mélange pas les rôles. Et vous, le merdier dans lequel vous vous trouvez, faut pas chercher plus loin la cause... et comme vous persistez ça va de mâle en pis comme disent les cow-boys... diabolicum perseverare...mais non, pas les cow boys, ça : the Holy Bible, god shit, décidément vous confondez tout! Tu vois, maintenant qu'il a les mains liées le comique de White-House, on va juste se débarrasser de quelques inepties style Obamacare et le business respirera encore mieux...pour vous ce serait beaucoup plus dur..."
Autrement dit, cette saleté de bouffeur de chewing-gum m'en a balancé plein la gueule pour pas un rond sans que je trouve peu ou prou le moyen de faire pièce. Que voulez vous, on voit bien que nous autres Franchouilles nous n'avons pas la même conception du "mi-mandat" que ces enfoirés d'Amerloques. Eux, leur Président à la con ils le collent sur le banc de touche et tant pis s'il y côtoie des entraîneurs xénophobes. Nous, le nôtre, on le regarde juste se cramponner tout en lutinant sa Julie...Tiens, au fait, vous voyez, son émission de l'autre soir "Face au Français" je n'y pensais même plus...faut dire que je ne l'avais même pas regardée...à quoi bon? On le sait depuis lurette qu'il se cramponne, hélas!
Alors là, comme je sens que ça commence à faire lourd, je ne vous parlerai ni de François Fillon ni de son pote Jean-Pierre Jouyet. Toutefois, voyez vous, ce ne sera que partie remise. M'étonnerait pas que la semaine prochaine on ait du grain à moudre sur ce coup-là, ainsi qu'eût dit feu Dédé.
Bonne fin de Dimanche et conservez vous bien.
Et merde pour qui ne me lira pas.