Sauf que moi, je n'en vis pas, de mon modem et c'est pourquoi je n'envie pas non plus
le susdit Bayrou.
Je ne me contenterai pas, toutefois, de parler pour ne rien dire.
Donc j'attaque.
Les media nous bassinent depuis plusieurs jours avec le parti socialiste et ses turpitudes électorales.
D'une part, il ne s'agit pas d'un scoop. Lors de l'élection de la mère Aubry, en Novembre dernier, la combine était déja parfaitement connue. Il suffit de relire mes conneries de l'époque (délicatement intitulées"Ségotine Raubryal" et "Ces dames au salon! ") pour comprendre qu'on nous balance du réchauffé.
D'autre part, sachant le mal définitif que les socialos ont causé à ce pays depuis la main basse de 1981, je trouve obscène, maintenant que ces gens ne représentent plus un véritable danger, au moins en ce qui concerne le plus haut niveau du pouvoir, que les folliculaires de tout poil persistent à leur faire une publicité constante autant que massive. C'est de l'acharnement thérapeutique! Ou alors de la routine habitudinaire.
Qu'on se le dise, la mission dégénérative socialiste apparaît aujourd'hui totalement assumée par le Président de la République en personne. Plus besoin d'intermédiaires,
c'est le patron qui fait le boulot.
Et sous le regard attentif de Bobonne, s'il vous plaît, pour éviter qu'il ne reparte dans la mauvaise direction!
Les exemples quotidiens foisonnent. Tenez, aujourd'hui le Chef de l'Etat qualifie de stupidité la loi relative à l'analyse de l'A.D.N. des candidats au regroupement familial, loi qu'il a inspirée à l'époque ancienne du nettoyage au kärcher ( et non pas au kouchner comme d'aucuns l'ont cru à tort ).
Nous allons donc continuer à laisser n'importe qui venir bouffer nos bonnes prestations sociales génératrices de déficits abyssaux et de ribambelles de "jeunes" de quartiers sensibles.
Vous me direz, au moins de cette manière notre bien aimé Président s'évite les mésaventures du type de celle qui survient à son féal ministre de l'intérieur pourfendeur de préfets politiquement incorrects.
Voilà un bonhomme qui ne sait plus comment faire pour s'exonérer de l'étiquette "sale facho raciste doté d'une sale gueule trop blanche" que toute la gauche lui a définitivement collée et qui se fait piéger, comme le premier Valls venu, à déclarer qu'un arabe ça va mais que beaucoup bonjour les dégats!
Gros manque de pot, certes, et qui plus est assorti d'un lamentable échec de sa tentative visant à faire croire qu'il parlait des auvergnats. Pourtant, beaucoup d'auvergnats
apparaissent tout à fait susceptible de créer de sérieuses difficultés. Prenez la famille Michelin, tiens,le mal qu'ils ont pu faire à la concurrence...
Toujours est il que de nos jours parler librement entre amis c'est un peu risquer sa peau.
Comme au bon vieux temps du camarade Staline.
Allez ciao et merde pour qui ne me lira pas.